Thomas Moore (1779–1852)
1. Le coucher du soleil (`Заход солнца`): rêverie - T, pf (H 39)
2. Hélène (Елена`): ballade - T, Bar (or S, A), pf (H 40A)
3. Chant guerrier (`Военная...
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Луи Лангре (дирижер)
Thomas Moore (1779–1852)
1. Le coucher du soleil (`Заход солнца`): rêverie - T, pf (H 39) 2. Hélène (Елена`): ballade - T, Bar (or S, A), pf (H 40A) 3. Chant guerrier (`Военная... Читать дальше
Thomas Moore (1779–1852)
1. Le coucher du soleil (`Заход солнца`): rêverie - T, pf (H 39) 2. Hélène (Елена`): ballade - T, Bar (or S, A), pf (H 40A) 3. Chant guerrier (`Военная песня`) - T, B, TBB, pf (H 41) 4. La belle voyageuse (`Прекрасная путешественница`): ballade - T, pf (H 42A) 5. Chanson а boire (`Застольная песня`)- T, TBB, pf (H 43) 6. Chant sacré (`Священная песня`): S or T, SSTTBB, pf (H 44A) 7. L’origine de la harpe (`Рождение арфы`): ballade - S or T, pf (H 45) 8. Adieu Bessy (`Прощание Бесси`): romance anglaise et française - T, pf (H 46A) 9. Elégie en prose (`Элегия`) - T, pf (H 47) Х Свернуть
`Les Nuits d`été`
1. Villanelle - Вилланелла 2. Le spectre de la Rose - Призрак розы 3. Sur les lagunes (lamento) - На лагунах 4. Absence - Разлука 5. Au cimetiere (clair de lune)... Читать дальше
`Les Nuits d`été`
1. Villanelle - Вилланелла 2. Le spectre de la Rose - Призрак розы 3. Sur les lagunes (lamento) - На лагунах 4. Absence - Разлука 5. Au cimetiere (clair de lune) - На кладбище (лунный свет) 6. L`ile inconnue - Неведомый остров Х Свернуть
Zaïde: boléro, voix, orch (H 107B)
Les champs: romance, T, pf (H 67B) Chant des chemins de fer, T, SSTTBB, orch (H 110)
Автор текста (поэмы) - Пьер-Анж Вьейяр де Буамартен
1. C`en est donc fait 2. Ah! qu`ils sont loin 3. Meditation: Grands Pharaons 4. Non!...non, de vos demeures funebres 5. Dieux du Nil... Читать дальше
Автор текста (поэмы) - Пьер-Анж Вьейяр де Буамартен
1. C`en est donc fait 2. Ah! qu`ils sont loin 3. Meditation: Grands Pharaons 4. Non!...non, de vos demeures funebres 5. Dieux du Nil Text: `C`en est donc fait ! ma honte est assurée. Veuve d`Antoine et veuve de César, Au pouvoir d`Octave livrée, Je n`ai pu captiver son farouche regard. J`étais vaincue, et suis déshonorée. En vain, pour ranimer l`éclat de mes attraits, J`ai profané le deuil d`un funeste veuvage ; En vain, en vain, de l`art épuisant les secrets, J`ai caché sous des fleurs les fers de l`esclavage; Rien n`a pu du vainqueur désarmer les décrets. A ses pieds j`ai traîné mes grandeurs opprimées. Mes pleurs même ont coulé sur ses mains répandus, Et la fille des Ptolémées A subi l`affront des refus ! Ah ! qu`ils sont loin ces jours, tourment de ma mémoire, Où sur le sein des mers, comparable à Vénus, D`Antoine et de César réfléchissant la gloire, J`apparus triomphante aux rives du Cydnus ! Actium m`a livrée au vainqueur qui me brave ; Mon sceptre, mes trésors ont passé dans ses mains ; Ma beauté me restait, et les mépris d`Octave Pour me vaincre ont fait plus que le fer des Romains. Ah! qu`ils sont loin ces jours (etc.) Mes pleurs même ont coulé sur ses mains répandus, J`ai subi l`affront des refus. Moi !... qui du sein des mers, comparable à Vénus, M`élançai triomphante aux rives du Cydnus ! Au comble des revers, qu`aurais-je encore à craindre ? Reine coupable, que dis-tu ? Du destin qui m`accable est-ce à moi de me plaindre ? Ai-je pour l`accuser les droits de la vertu ? J`ai d`un époux déshonoré la vie. C`est par moi qu`aux Romains l`Égypte est asservie, Et que d`Isis l`ancien culte est détruit. Quel asile chercher ? Sans parents ! sans patrie ! Il n`en est plus pour moi que l`éternelle nuit ! Grands Pharaons, nobles Lagides, Verrez-vous entrer sans courroux, Pour dormir dans vos pyramides, Une reine indigne de vous ? Non !... non, de vos demeures funèbres Je profanerais la splendeur ! Rois, encor au sein des ténèbres, Vous me fuiriez avec horreur. Du destin qui m`accable est-ce à moi de me plaindre ? Ai-je pour l`accuser le droit de la vertu ? Par moi nos dieux ont fui d`Alexandrie, Et d`Isis le culte est détruit. Grands Pharaons, nobles Lagides, Vous me fuiriez avec horreur! Du destin qui m`accable est-ce à moi de me plaindre ? Ai-je pour l`accuser le droit de la vertu ? Grands Pharaons, nobles Lagides, Verrez-vous entrer sans courroux, Pour dormir dans vos pyramides, Une reine indigne de vous ? Non, j`ai d`un époux déshonoré la vie. Sa cendre est sous mes yeux, son ombre me poursuit. C`est par moi qu`aux Romains l`Égypte est asservie. Par moi nos dieux ont fui les murs d`Alexandrie, Et d`Isis le culte est détruit. Osiris proscrit ma couronne. À Typhon je livre mes jours ! Contre l`horreur qui m`environne Un vil reptile est mon recours. Dieux du Nil... vous m`avez... trahie ! Octave... m`attend... à son char. Cléopâtre en... quittant... la vie, Redevient digne de... César !` Х Свернуть |
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